mercredi 20 juin 2012

notre attitude face à la mise en circulation des nouveaux billets de banque en R.D.C


Voici Monsieur le Professeur, l’attitude du groupe JUSTICIA FAMILY face à la mise en circulation des nouveaux billets.

« L’éclatement de l’unité monétaire qui pourrait s’ensuivre risque de faire le lit au grand projet de balkanisation du pays. Les défenseurs de ce projet macabre trouveront dans les dommages collatéraux de cette réforme une belle occasion d’obtenir ce qu’ils n’ont pas réalisé par la voie des armes. Reprenant du poil de la bête, ils pourraient saisir l’opportunité pour consolider l’existence des zones monétaires (division de facto) et encourager les populations à aller plus loin en exigeant une autonomie administrative et politique. Ainsi, c’est tout le pays qui court le risque de disparaître du fait d’une réforme monétaire ».
Dans exactement 18 jours, la RDC élargira son éventail fiduciaire par l’émission de trois nouvelles coupures de franc congolais (Fc) : 1 000, 5 000 et 10 000 Fc. Pessimiste, la population est hantée par l’inflation mais aussi par le spectre de l’éclatement de la RDC en zones monétaires. A l’instar de ce qui est arrivé en 1993 du fait des réformes hasardeuses de la 2ème République. Dans le cas d’espèce, les ennemis de la RDC pourraient saisir cette opportunité pour transformer les espaces monétaires ainsi créés en zones administratives autonomes. Et l’on est parti pour la mise en œuvre du projet de balkanisation.
2 juillet 2012. C’est la date prévue pour le lancement de nouvelles coupures à valeur faciale élevée. Quand bien même le gouvernement préférerait l’expression valeur faciale «adaptée» la population ne serait pas disposée à avaler la pilule qu’on lui prépare. Les appréhensions de cette dernière seraient fondées sur ce qu’elle considère comme «du déjà-vécu». L’espace monétaire kasaïen, né la réforme de 1993, est encore frais dans la mémoire des Congolais et ils craignent que la réforme du 2 juillet ne produise les mêmes effets.
Selon les spécialistes du secteur, la Banque centrale du Congo (BCC) et le gouvernement devraient relever un défi majeur, à savoir l’élément confiance, lequel devrait accompagner le processus en cours.
Optimisme contre incertitude
Il est vrai qu’au niveau de l’Exécutif national et de la BCC, l’on est convaincu de la réussite de l’opération. Toutefois, à cet optimisme s’oppose l’inquiétude du public, principal consommateur de nouvelles coupures. Aussi la BCC se propose-t-elle d’intensifier sa campagne de communication. Laquelle vise à faire adhérer davantage la population à la réforme en cours.
Jusqu’à ce niveau, tout est encore théorique, basé sur des simulations des experts de la BCC qui s’inspire en grande partie des expériences réussies de 1998 avec le lancement du franc congolais et, plus tard, de 2003 lorsqu’il a été lancé les coupures de 200 et 500 Fc. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, la BCC exclut tout naufrage au terme de la réforme du 2 juillet 2012. Elle s’appuie, à ce propos, non seulement sur son flair de technicien de la monnaie, mais surtout de la bonne santé de la conjoncture intérieure marquée par une nette stabilité du cadre macroéconomique.
Toutefois, la mémoire étant un facteur de comportement, le consommateur congolais – celui-là même qui donne au billet émis par la BCC la qualité de monnaie – ne cache pas son scepticisme. Il est convaincu qu’après le 2 juillet, l’édifice de la stabilité macroéconomique devrait s’écrouler. A ses inquiétudes s’ajoute aussi ce danger de l’éclatement de l’unité monétaire de la RDC. L’on doit se rappeler, à cet effet, de l’expérience malheureuse de 1993 où, à la suite d’une «réforme monétaire politiquement décriée et techniquement mal agencée», les deux provinces du Kasaï se sont mises en marge en se constituant en une zone monétaire distincte.
Dans l’opinion, l’on craint une résurgence du démon de 1993. Et la situation sur terrain se prête bien à un tel scenario. C’est le cas, par exemple, des provinces de l’Equateur, du Bandundu, etc. où de petites coupures du Franc congolais (10 et 20 Fc), démonétisées de fait dans les grandes villes, ont toujours cours légale. Or, dans sa stratégie de lancement de nouvelles coupures du Franc congolais, la BCC a promis de se concentrer en priorité dans les grandes villes. Il y a donc l’ombre de se retrouver en face d’une économie à deux vitesses.
D’un côté, il y aura une zone économique où de petites coupures, pourtant décriées ailleurs, participent dans les transactions courantes, et une autre, notamment les grandes villes où de grosses coupures régiront les transactions. Le danger est qu’on va courir droit vers une désintégration de l’unité économique du pays. Ce qui n’est pas pour une économie qui cherche à se réorganiser pour prétendre passer dans quelques années dans les rangs des économies à revenu intermédiaire.
C’est dire que la réforme relative au lancement de grosses coupures du Franc congolais est un couteau à double tranchant. Car, non seulement elle ne va pas annihiler le problème de la dollarisation à outrance de l’économie nationale où 89% sont dénouées en devises étrangères, mais elle aura l’inconvénient, à terme, de faire perdre à la monnaie nationale son statut d’attribut de souveraineté.
Point de vue des experts
Bien avant que la BCC n’annonce l’émission de grosses coupures du Franc congolais, les professeurs Kabuya Kalala et Tshiunza Mbiye, deux économistes de renom à l’Unikin, ont, six mois auparavant, dans un article précurseur à l’édition de décembre 2011 de la revue Congo-Afrique, sonné l’hallali sur les germes de crise qui peuvent naître du fait d’une mauvaise manipulation de l’arme monétaire. L’intitulé de l’article est révélateur : «Pouvoir et argent : la crise de la monnaie revisitée en RD Congo».
Après une remontée dans le temps de toutes les réformes menées en RDC, ils rappellent qu’ «au-delà du phénomène de dollarisation qui est commun à la plupart des hyperinflations vécues dans le monde, il s’est observé en République démocratique du Congo, des formes nouvelles et insoupçonnées de la crise monétaire». «Par exemple, poursuivent-ils, «malgré la hausse persistante des prix, le public n’a pas voulu s’accommoder de la politique intempestive de la Banque centrale d’émettre des billets à valeur faciale de plus en plus élevées, sous prétexte de faciliter les transactions et de réduire le coût d’impression de petites coupures. Au contraire, le public cherchait à détenir de petites coupures croyant ainsi échapper à l’arbitraire de la taxe d’inflation».
Cette analyse s’inspire de la réforme monétaire de 1993. C’est vrai qu’en 2011, le contexte est tout à fait différent ; les prix sont stables et les marges de fluctuation du taux de change sont faibles. Mais, les deux professeurs pensent que la question de la monnaie ne se limite pas qu’aux seuls aspects techniques. Il y a, estiment-ils, la dimension de la confiance qui influe fondamentalement sur la capacité de la monnaie à jouer véritablement son rôle. Bref, c’est sur la confiance que se jouera le succès de la réforme du 2 juillet 2012. «C’est autour de la confiance que se dessinent les règles informelles qui fondent le jeu monétaire», relèvent-ils.


La balkanisation en sous-main
L’éclatement de l’unité monétaire qui pourrait s’ensuivre risque de faire le lit au grand projet de balkanisation du pays. Les défenseurs de ce projet macabre trouveront dans les dommages collatéraux de cette réforme une belle occasion d’obtenir ce qu’ils n’ont pas réalisé par la voie des armes. Reprenant du poil de la bête, ils pourraient saisir l’opportunité pour consolider l’existence des zones monétaires (division de facto) et encourager les populations à aller plus loin en exigeant une autonomie administrative et politique. Ainsi, c’est tout le pays qui court le risque de disparaître du fait d’une réforme monétaire.
En réussissant en 1998 d’unir l’espace monétaire congolais, M’Zee Laurent-Désiré Kabila a réalisé un projet qu’il faut à tout prix préserver. Or, la réforme de 2 juillet prochain aura le grand désavantage de consacrer de la manière la plus officielle l’évolution à deux vitesses de l’économie. N’est-ce pas entraîner l’économie nationale au bord du cataclysme. L’éclatement en zones monétaires pourrait conduire à l’éclatement. Et la mise en circulation de nouvelles coupures mal négociée pourrait ouvrir la brèche dans laquelle s’inséreront ceux qui mijotent l’éclatement du Congo par la remise en cause de ses frontières héritées de 1885.
En encadré, nous reprenons une section de l’article des professeurs Kabuya et Tshiunza consacrée à «la portée de la confiance» dans la perception de la monnaie.
La portée de la confiance
C’est autour de la Confiance que se dessinent les règles informelles qui fondent le jeu monétaire. L’expression bien connue de «monnaie fiduciaire» indique ce lien entre la confiance et la monnaie. La confiance dans la monnaie a été très peu étudiée par les économistes. Sans doute, parce que, comme le pense L. Fémenias, les monnaies nationales sont, en règle générale assez bien acceptées par les populations. Il est cependant des cas où la confiance laisse la place à une certaine méfiance voire, à un certain rejet, ouvrant ainsi la voie à une crise plus ou moins durable de la monnaie et du système qui l’émet. Déceler les conditions qui conduisent à une telle situation, c’est déjà entrevoir les domaines dans lesquels des actions éventuelles de redressement pourraient s’orienter.
La confiance comporte deux dimensions, une dimension sociale et une dimension économique. Elle repose sur la réputation et la crédibilité. Examinons rapidement le sens de ces deux termes. La réputation est en général le fait d’être honorablement connu du point de vue moral, pour son honnêteté, pour sa loyauté, d’où, le rôle de l’éthique et de la dimension sociale de la confiance. Par contre, la crédibilité est ce qui fait qu’on lui reconnait une compétence, une expertise dans le domaine considéré, ce qui correspond à la dimension proprement économique de la confiance.
S’agissant de la confiance dans la monnaie, «elle se nourrit à des sources multiples les pratiques quotidiennes, la vigilance des autorités de régulation, mais également le projet de société qui est proposé aux citoyens. La confiance est perceptible concrètement aux niveaux hiérarchique, méthodique et éthique».
La «confiance hiérarchique» est directement liée à l’autorité, l’Etat en général, et la Banque centrale, en particulier. Cette confiance est rendue présente par les gestes de protection de l’autorité monétaire à l’endroit du système de paiement. La «confiance méthodique» résulte de la répétition réussie des transactions monétaires quotidiennes. Quant à la «confiance éthique», elle procède de l’adhésion sociale à la monnaie comme un «bien collectif» dont l’utilité s’accroît avec le nombre de gens qui l’utilisent. Mais, c’est un bien collectif assez spécial puisque son coût de détention représenté par la taxe d’inflation s’impose à tous les utilisateurs. Gérer la monnaie dans l’intérêt général, c’est donc en préserver la valeur d’usage.
L’érosion de la confiance dans toutes ses dimensions a constitué l’élément moteur de la crise de la monnaie au Congo. La confiance hiérarchique a été insidieusement entamée par le sevrage ou le faible accès des banques commerciales à la monnaie émise par la Banque centrale, qui constitue le socle même de tout système de paiement. Comme déjà indiqué haut, pour qu’une dette soit réglée par chèque bancaire entre deux personnes, il est nécessaire qu’intervienne un moyen de paiement extérieur aux deux individus et donc un ordre supérieur à une simple reconnaissance de dette. De même, pour que les banques puissent régler leurs dettes réciproques, il est indispensable qu’existe une Banque centrale. A l’indisponibilité croissante des réserves libres des banques auprès de la Banque centrale, est venue s’ajouter une trésorerie des banques tout aussi serrée. Par exemple, dans la première moitié de la décennie 1990, le taux de couverture des dépôts par les encaisses dans les banques commerciales est tombé de 7,2% en 1990 à 1,6% en 1995.
L’érosion de la confiance méthodique au Congo a rencontré un terrain favorable dans le gonflement excessif des dépôts bancaires nés de paiements effectués par l’Etat, en faveur de ses fournisseurs, au moyen de virements non couverts en comptes bancaires. Cette perversion des mécanismes de paiement plaça les banques commerciales dans l’incapacité d’honorer les demandes de retraits de la part de leurs clients. Il s’ensuivit une importante décote du chèque par rapport aux espèces dans les transactions. La crise de liquidités dans le circuit bancaire affecta tant la confiance hiérarchique que la confiance méthodique en pâtit. Contraintes par leur trésorerie, les banques ont rationné les montants des retraits sollicités par les clients sur leurs comptes.
La confiance éthique est la plus importante des trois niveaux de confiance, car c’est elle qui peut borner l’action de l’autorité politique sur la monnaie. Hélas ! Cette confiance fut à son tour irrémédiablement entamée du fait de l’expansion fulgurante de la masse monétaire, impulsée essentiellement par le financement des déficits publics. Par conséquent, la valeur de la monnaie nationale s’effondra avec l’éclatement subséquent de l’hyperinflation.
Extrait de l’article «Pouvoir et argent : la crise de la monnaie revisitée en RD Congo», Kabuya Kalala François et Tshiunza Mbiye Omer, Congo-Afrique, Décembre 2011

vendredi 10 février 2012

NOS REMERCMENTS


NOS REMERCIEMENT SONT ADRESSES A :

-         L’institut Tuelimishe
Ø Monsieur Bonaventure MUMBA NKILILA   préfet des études
Ø  Monsieur  Jean-Claude MWILAMBWE MADI directeur des études
Ø Madame Louise IZAU ILUNGA secrétaire
-         Monsieur  James  NIZIGIYE  ELISEE gérant du cyber café où nous avons traité le travail
-         Nous n’oublions pas le CT Solol  N’DUA TSHIBAMB
-         Chaque membre du groupe qui s’est donné corps et  âme  enfin que ce travail réussisse

JUSTICIA FAMILY est  un blog crée par un groupe de 20 étudiants de l’ISC (sciences commerciales et financières) tous de G1scofi.c ‘est dans le but de promouvoir les échanges scientifiques non pas entre eux seulement ; mais principalement entre tout les étudiants et non-étudiants désirant échanger leurs savoirs avec  ceux qui désirent les acquérir. Sûrement, vous vous demandez pourquoi le nom JUSTICIA FAMILY ?
Et bien, de commun accord nous nous sommes dit qu’il fallait pour ce blog un nom qui appelle à l’unité, l’égalité, la fraternité, l’amour…et JUSTICIA FAMILY  a semblé être le bon.
 Ensemble vous et nous, nous formons une grande famille scientifique dans laquelle doit Reigner la JUSTICE EN FAMILLE.
Pour ceux d’entre nous qui ont la coutume de travailler en groupe, je voudrais leur dire que sans justice, il n’y aura jamais l’unité, l’harmonie, l’égalité, la fraternité…voilà pourquoi cher lecteur, dans le soucis d’harmoniser ce blog, nous vous invitons tous, que vous soyez de L’ISC,L’UNILU,L’UNIKIN,TUELIMISHE,TUENDELEE,KITULIZO,IMARA,SALAMA…à vous exprimer librement sur le blog ou en contactant le directeur du  blog au (+243) 99 563 20 62 ou écrivez-nous à l’adresse  e-mail  jeanmanira@yahoo.fr
Nous  vous remercions de nous avoir visité, nous espérons que vous vous êtes déjà enregistré comme membre du blog et en fin nous osons croire que vos apports nous serons d’une enrichirons.
Personnes à contacter  pour plus amples renseignements et leurs numéros de contact:
ü  Monsieur Bonaventure MUMBA NKILILA : (+243) 81 415 26 18/ 99 701 55 86
ü  Madame Louise IZAU  ILUNGA : (+243) 81 407 01 77/ 99 222 61 78
ü  Monsieur James NIZIGIYE  ELISEE : (+243) 81 169 44 26/ 99 848 61 67



SEULS LES FORTS RESISTENT

RAPPORT DE FIN D'ANNE DE L'INSTITUT TUELIMISHE (suite)




XVI. DIFFERENTS EVENEMENTS AYANT MARQUE L’ANNEE

Quelques événements ont marqué l’année scolaire 2009-2010 notamment :
-          La formation des chefs d’établissement et une équipe des professeurs en organisation des activités parascolaires ; formation assurée par le conseiller KIBALE à la maison SAFINA le dimanche 07 novembre 2011 ;
-          Ouverture des comptes à la TMB au profit de tous les agents ce qui a permis à tous les agents de toucher leur salaire par la banque ;
-          La formation - recyclage en dissertation de tous les professeurs de français par le professeur MUKAKALA
-          Proclamation et remise des bulletins aux élèves : une première dans l’histoire de notre école
-          Célébration à l’initiative de l’école du premier mariage religieux du couple professeur Guy SWABA et Mireille KABUNGA le 1er Juillet 2011 à la Paroisse Saint Benoit
-          Réparation de la borne fontaine de l’école en mars 2011
-          Cloisonnement de la grande salle en février 2011 afin de décongestionner les classes de 5ème et 6ème TCC
-          Réfection des installations sanitaires en septembre 2010
-          Participation aux activités commémoratives de la journée de l’enseignement catholique : les activités culturelles du vendredi 27 avril 2011 à Jasiri, la conférence ayant pour thème : « la problématique actuelle de l’école catholique » animée par le Conseiller KIBALE à Kitumaini, la célébration eucharistique et fête du samedi 14 mai 2011 à TUENDELEE.
-           
XVII. DIFFICULTES RENCONTREES ET PERSPECTIVES

  1. DIFFICULTES RENCONTREES

A.1. Sur le plan financier

-          Imposition des manuels scolaires aux élèves de 6èmes vers la fin de l’année scolaire avec comme conséquence : difficultés chez les parents quant au paiement des frais mensuels mois de mai et juin 2011. L’imposition de ces manuels a perturbé la psychologie de certains élèves dans la préparation des EXETAT : à quel moment se fier, quelles matières du nouveau manuel priorisées ;
-          L’interdiction par le Maire de la Ville de Lubumbashi de percevoir les frais scolaires mois de mai et juin avec comme conséquence le paiement à moitié des salaires du mois de juin de nos agents à la veille des grandes vacances.


A.2. Sur le plan pédagogique et administratif

-          Irrégularité, excuses, sorties, absences du directeur des études du gong de l’après midi avec comme conséquence le retard dans l’encadrement pédagogique de nouveaux professeurs du 2ème gong.
-          Récurrence des absences pour raison de maladie chez presque les mêmes agents : retards sur les prévisions des matières, assez bonne évaluation des élèves ;
-          Apparition de petits faits observés dans le chef des professeurs par les élèves tendant à nuire la bonne réputation de l’école : rançonner les élèves, les injurier, les punitions corporelles,… 
-          La surcharge des titulaires des classes par rapport au calendrier de fin d’année trop serré
-          La léthargie dans l’exécution des tâches par les professeurs



A.3. Sur le plan infrastructurel

-          Manque des locaux pouvant abriter avant midi les classes de 3è et 4è TCC, difficulté de faire fonctionner cette section en deux gons et aussi usage d’une même salle cloisonner pour deux classes.
-          Inadéquation entre le matériel de pratique en TCC et en CAD et l’effectif d’élèves : difficulté d’organiser les séances de pratique ;
-          Inondation de certaines classes pendant la période de grandes pluies
-          Nombre des bancs insuffisants d’où mouvement des bancs au changement de gong.

A.4. Sur le plan relationnel

-          Refroidissement des relations entre la hiérarchie et les agents en cas d’un dossier disciplinaire

  1. PERSPECTIVES


-          Ne pas admettre ou admettre sous conditions les candidats malheureux aux EXETAT
-          Construire 6 locaux pour abriter les classes de TCC et créer des salles de machines         (ateliers, salle de dactylo, …)
-          Construire une salle d’informatique, une guérite ainsi qu’une permanence
-          Créer des bureaux spacieux, les équiper ; équiper aussi la salle des professeurs, la TCC et la CAD en mobiliers et matériels adéquats
-          Aménager les latrines et certains locaux par la vitrification, l’électrification, l’équipement, le crépissage, le placement du plafond, l’aération…
-          Informatiser beaucoup des données administratives ;
-          Construire un trottoir devant les classes du bloc cure.





































XVIII. PREVISIONS BUBGETAIRES

Pour contourner les problèmes de fluctuations monétaires, nous avons jugé opportun d’élaborer ces prévisions budgétaires en dollars Américains.

    
  
BESOINS     
Qté
P.U
P.G
Fin (Usage)
observ
I. MAIN D’ŒUVRE
01
Personnel de Direction
7
-
60.240
Salaires, heures supplémentaires + autres primes

02
Personnel enseignant
41
-
120.920


03
Autre personnel
6
-
16.840



Sous TOTAL 1
54

198.000


II. a. APPROVISIONNEMENT EN MATERIELS ET FOURNITURES DE BUREAU
04
Rubans machine à écrire
25
3,-
75,
Cours de dactylographie

05
Rames de papiers A4
50
4,5
225
Travaux de Direction

06
Encre correcteurs (tubes)
35
2
70
Travaux de bureau titulariat

07
Stencils (rames)
15
30
450
Travaux de bureau Examen et divers

08
Encre stencils (tubes)
10
10
100
Idem

09
Craies blanches (boites)
500
1,7
850
Appui didactique

10
Craies de couleurs (boites)
100
1,7
170
Appui didactique

11
Enveloppe (pièces)
1000
0,02
20
Correspondance

12
Attaches (boite)
15
1
15
Travaux de bureau

13
Machines à calculer
34
5
170
Vérifications grilles de points, bulletins, moyennes de présences

14
Stylos :
- bleus (boites)
- rouges (boîtes)
- noirs (boites)
- verts (boîtes)

40
20
1
1

6
6
6
6

240
120
6
6

Direction et professeurs

15
Frottoirs (pièces)
75
5
375
Salles de classes

16
Fardes chemises (pièces)
150
0,6
90
Direction + bulletins

17
Fiches scolaires pour élèves (pièces)
1600
0,35
560


18
Bulletins de signalement
500
0,35
175
Evaluations du personnel

19
Grilles de points (pièces)
1500
0,35
525
Liste nominatives et cotation périodique des élèves

20
Ecussons (pièces)
2000
0.5
1000


21
Bulletins d’archives (pièces)
2000
0,35
700


22
Bulletins cartonnés (pièces)
2500
1
2500


23
Cartes d’élèves (pièces) et fiches SERNIE
2500
0,35
875
Sécurités et identités des élèves

24
Cartes de services (pièces)
55
0,35
19.25


25
cravates (pièces)
2000
0,50
1000


26
Registres d’appels (pièces)
50
1,5
75
Présences des élèves et profs

27
Cahiers douzaines :
-          200 pages
-          96 pages
-          48 pages
-          24 pages
Cahiers de Coupes 72 pages


20
20
10
10
12

5
2,5
1,32
0,65
8,13

100
50
13,2
6,50
98,76

Documents pédagogiques et divers

28
Papiers carbones (rames)
3
12
36
Travaux de bureau

29
Journaux de classe profs
Journaux de classe élèves
50
2000
2,5
1,5
125
3000
Documents pédagogiques
Documents élèves

30
Matériels de dessins (mathematicals instruments) (boîtes)
10
1
10
Matériels didactiques math.

31
Classeurs  (pièces)
150
3,5
525
Classement des documents administratifs

32
Crayons + gommes (douzaines)
10+10
5+1
50+10
Travaux de bureau

33
Agendas Grand (pièces)
               Petit (pièces)
7
1
10
1
70
1
Aide mémoire

34
Papiers collants - skotch
                            Transparent
12
18
1,5
0,5
18
9
Affichage + communiqués

35
Colle stick
Colle liquide
12
12
1,5
0,5
18
6
Affichage + communiqués
           

37
Marqueurs douzaines :
-          Noirs
-          Rouges
-          Bleus
-          Verts

3
3
3
3

3
3
3
3

9
9
9
9

Affichage + communiqués

38
Souligneurs
12
1
12
Idem

39
Papiers bristol (grand format)
20
0,20
4
Horaire, affiche, classement

40
Papiers couverture (rouleaux)
20
1,525
30,5
Couverture documents


SOUS TOTAL II


14565,21


II. a APPROVISIONNEMENT DIVERS
41
sacs de raphia
20
0 ,66
13,2
Empaquetage des copies d’interrogation et examens

42
Sachets d’emballage (pièces)
100
0,3
30
Classement copies d’interrogations et examens

43
Ballons
8
15
120
Sports + gymnastiques
2 foots
2 hand
2 basket
2 volley
44
Mousse (matelas)
2
60
120
Gymnastique

45
Montres
15
3
45
Direction + salle des professeurs

46
Papiers hygiéniques (rouleaux)
50
0 ,3
15


47
Savons (cubes)
12
0,2
2,40


48
Savons en poudre
4
1
4



Braises et divers Gardiennage (mois)
10
50
500
Gardiennage


SOUS TOTAL 3


849,4


II.c. APPROVIONNEMENT EN PRODUIT ET MATERIELS D’ENTRETIEN

Seaux plastiques
60
3
180


49
Balais indigènes
150
0,5
75
Hygiène de l’école

50
Grattoirs
15
3
45
Idem

51
Sacs de chaux
20
7
140
Rafraîchissement des murs

52
Latex (pot de 20l)
5
50
250
Idem

53
Huile de pin
12
15
180
Hygiène de l’école

54
Tuyaux d’arrosage (m)
150
1
150
Arrosage plante et cours de l’école

55
Arrosoirs (pièces)
27
3
81
Idem

56
Tapis de bureau (tables)
7
10
70
Support pour écriture

57
Gants (paires)
5
0,5
2.5
Travaux WC

58
Houes (pièces)
20
3
60
Travaux d’entretien

59
Bêches (pièces)
10
5
50
Idem

60
Râteaux (pièces)
10
2,5
25
Idem

61
Pioches (pièces)
4
7
28
Idem

62
Raclettes (pièces)
30
2,5
75
Idem

63
Torchons
50
0.5
25


64
Peinture à huile
15
15
225



SOUS TOTAL 4


1661.5


II .d ; APPROVIONNEMENT EN MATERIAUX DE CONSTRUCTION

65
Timbérites
395
13
5135
Plafonds 21 salles

66
Ciments (sac de 50 kg)
35
18
450


67
Sable m3
48

900
Idem

68
Ampoules (tubes)
20
1,50
30
Eclairage des locaux

69
Prises (pièces)
14
2,5
35
Idem

70
Interrupteurs (pièces)
8
2,5
20
Idem

71
Câbles électriques VOB
100
0,25
25
Installation électrique

72
Planches 5/7 et 4/11


200


SOUS TOTAL 5


6795








III. PRESTATIONS

III .a. PRESTATIONS EXTERNES (ENTRETIEN ET REPARATION)
73



Entretien et réparation des machines à écrire



25



20

500



         SOUS TOTAL 6
  -        
  -
500


III. b. PRESTATIONS EXTERNES (AUTRES SERVICES – MAIN D’ŒUVRE)

71
Placement plafond


-


-

150

2è DE et salle des professeurs



72
Installation électrique



300

Toute l’école

73
Maçonnerie

1000
1000
Guérite et rigole devant les salles des classes, salle d’Internet


Sous TOTAL 7


1450


IV. - INVESTISSEMENTS
IV.1. INVESTISSEMENTS DE REMPLACEMENT
75
Bancs
60
75
4500


76
Mobiliers salle des professeurs
15+4
70+30
1120+120


77
Mobiliers des bureaux
6
100
600
2è DE et DD

78
Etagère moyenne à deux armoires
3
100
300
2è DE et DD

79
Ordinateurs
10
600
6000
Pratique informatique

80
Internet(Modem)

500
500



SOUS TOTAL 8


13140


IV. INVESTISSEMENTS DE CROISSANCE

81
Construction salles de classe , salle des machines,guérite,permanence,…


35000
4 classes TCC et 2 ateliers


SOUS TOTAL 9


35000



TOTAL CUMULE

SOUS TOTAL 1
198.000
SOUS TOTAL 2
14.565,21
SOUS TOTAL 3
849,4
SOUS TOTAL 4
1661.5
SOUS TOTAL 5
6795
SOUS TOTAL 6
500
SOUS TOTAL 7
1.450
SOUS TOTAL 8
13140
SOUS TOTAL 9
35000
CUMUL
271961.11

En lettres : « Deux cents soixante onze mille neuf cent soixante et un dollars onze centième  »

Il convient de signaler :

1. Les frais alloués aux différents services de l’Etat :
                        1. EPSP       : a. Promoscolaire
                                              b. % sur le fonctionnement de l’école à l’EPSP/Province
                        2. Service d’emploi
                        3. INSS
                        4. SONAS
                        5. Collation des inspecteurs ou autres visiteurs
                        6. Imprévus et taxes diverses 

2.  Les frais alloués à l’Archidiocèse de Lubumbashi et à la Coordination Diocésaine


RECETTES PREVUES :

1235 élèves x  22 $/élèves x 10 mois de cours =  271700 $

SORTIES PREVUES
               
a.       72 % enveloppe salariale dont 2 % quote- part INSS Promoteur

b.       12 % Fonctionnement école
- Approvisionnement :    * Fournitures de bureau
                                            * Divers approvisionnement
                                            * Produits et matériels d’entretien

- Prestations externes :     * Entretien et réparations

c.        6 % Fondation
d.       4 % Codilu + œuvres
e.        4 % Projets d’investissement
f.        2 % Réserves








TABLE DES MATIERES


I. IDENTIFICATION DE L’ETABLISSEMENT……………………………………..….02
.1.- Dénomination………………………………...…………………………….…..…02
 2.- Régime de gestion…………………………………………………………….…..02
 3.- Vacation…………………………………………………………………………..02
 4.- Codes……………………………………………………………………………..02
 5.- Adresses…………………………………………………………………………..02
 6.- Historique…………………………………………………………………….…...02
 7.- Structure et sections organisées…….………………………..……………………03
 8.- Plan de l’école……………………………………………………………….……04

II. RELEVE DU PATRIMOINE DE L’ECOLE………………………………………….05
II.1 EQUIPEMENT MOBILIER ET MATERIEL………………………………………..…05
II.2 REPERTOIRE DES MANUELS…………………………………………………….…10

III. POPULATION SCOLAIRE………………………………………………….………..20
IV. MISE EN PLACE DU PERSONNEL……………………………………………20 BIS
V. REGLEMENTS D’ORDRE INTERIEUR……………………….…………………….21
V.1. REGLEMENT D’ORDRE INTERIEUR POUR ELEVES……….…………………….21
V.2. REGLEMENT D’ORDRE INTERIEUR POUR PROFESSEURS.…………………….27
VI. ORGANISATION DIDACTIQUE………………….………………………………….33
V.1. CALENDRIER SCOLAIRE…………………………………………………………….33
V.2. MOYENNE DES PRESENCES………………………………………………………..33

VII. ATTRIBUTIONS DU PERSONNEL ENSEIGNANT ET HORAIRE GENERAL34
VII.1.ATTRIBUTIONS DU PERSONNEL ENSEIGNANT……….……………………….34
VII.2.HORAIRE GENERAL………………………………………..………………………..37

VIII. EXECUTON DU PROGRAMME…………………………………………………...39
IX. VISITES DES CLASSES EFFECTUEES……………………………………………..39
X. REUNIONS TENUES, NOTES DE SERVICES EMISES…………………………....40
X.1.REUNIONS TENUES………………...…………………………………………………40
X.2. NOTES DE SERVICE EMISES……………………………………………………..…42
XI. ACTIVITES DE LA FORMATION…………………………………………………..44
XII. ACTIVITES PARASCOLAIRES…………………………………………………….45
XIII. TABLEAU SYNOPTIQUE DES RESULTATS SCOLAIRES ET DES TITRES SCOLAIRES DELIVREES………………………………………………………………….……………...47
XIV. APPRECIATION DU PERSONNEL………………………………………………..48
XV. RAPPORT FINANCIER………………………………………………………………50
XVI. DIFFERENTS EVENEMENTS AYANT MARQUE L’ANNEE…………………..53
XVII. DIFFICULTES RENCONTREES ET PERSPECTIVES D’AVENIR…………...53
XVIII. PREVISIONS BUDGETAIRES…………………………………………………....55