mercredi 22 avril 2015

PRESENTATION DE L'ARTISTE COMEDIEN CONGILAIS VITAL SUNZU ET MADAMA Margueritte NDUA



INTRODUCTION

Parce que la seule vraie source et l’école du management réside dans les actes de ses disciples, c’est-à-dire, les patrons d’entreprises qui ont mis en pratique cette puissante volonté de créer une entreprise, de créer de l’emploi de risque leurs capitaux de lancer un style, une mode une manière de penser tout en faisant face aux multiples défis, et parce que la théorie sans pratique ne suffit pas, voilà pourquoi, dans le cadre de ce travail pratique collectif du cours de management et initiation à l’esprit d’entreprise intitulé « à la découverte d’un manager » le groupe Justicia Family, en sa qualité de groupe d’étudiants très appliqués et désireux de l’excellence, est descendue sur le terrain pour s’abreuver à la source, du savoir pratique que présentent les grands hommes et grandes femmes, le leader…Bref, les personnes qui ont fait quelque chose dans la ville de Lubumbashi ou un peu partout dans le monde.
Dans le choix du manager à interviewer, JUSTICIA FAMILY a choisi Madame Margueritte N’DUA et Monsieur Vital SUNZU ; d’où notre travail sera subdivisé en deux grandes parties intitulées respectivement « à la découverte de Madame Margueritte » et « la découverte de Monsieur Vital SUNZU »








Partie I. A LA DECOUVERTE DE MADAME MARGUERITTE N’DUA

Parce que la découverte sous-entend une série de questions à se poser, nous allons, dans la découverte de notre cible, reprendre la série des questions soumises à notre interlocutrice ainsi que les réponses y afférentes.

1.     Qui est madame Margueritte ?

Fille de Papa KAYOMBO Eduard et Maman KAMINA Mélanie, Madame Margueritte connue sous le diminutif ‘’Maguy’’ est une femme engagée pleinement dans l’enseignement depuis maintenant plusieurs décennies. Elle est née à Likasi en 1952, a fait ses études primaires dans son Likasi natal, ses études secondaires au lycée  TSHONDO à Lubumbashi et ses études universitaires en Belgique où elle a décroché son diplôme de licence en orthographe de la pédagogie. Elle est mariée au professeur N’DUA et a sept enfants.

2.     Que fait-elle ?

Promotrice de Balou, Madame Magy œuvre pleinement dans l’enseignement primaire, secondaire et spécial dans la ville de Lubumbashi. A part l’enseignement, elle œuvre dans d’autres domaines dont l’agriculture, l’élevage, les œuvres caritatives,…

3.     Balou que-c’est ?

Balou est l’une des meilleures si pas la meilleure école de Lubumbashi. Elle fut initiée en 1980 d’abord dans un petit garage de 2m/1,5m au quartier Bel air dans la commune de Kampemba au domicile de l’initiatrice, plus Plus tard, elle sera installée au quartier Square, au complexe KIWELE et a de nos jours une subdivision au quartier KIMBEMBE dans la commune annexe sur le site ZAWADI ZA IMANI. Au départ, Madame Magy voulait faire de l’enseignement à système intégratif c’est-à-dire un système d’enseignement où personnes handicapées et non handicapées étudient ensemble. La jeune école comptait au départ 10 élèves dont 3 handicapés.
De nos jours, l’école Balou est dans 4 secteurs de l’enseignement dont l’enseignent spécialisé qui s’occupe des enfants et adultes dont l’état mental ne permet pas à ce qu’ils fassent les études normales, l’école maternelle, l’école primaire, l’école secondaire et même une crèche qui s’occupe des bébés dont les parents ne sont pas disposés pour leur encadrement. En dehors de ça, il faut noter que Balou a un internat, trois foyers, un centre de santé moyennent équipé, une porcherie d’une certaine de têtes constituant un projet pilote pour la création d’une entreprise de production des saucisses à en croire le fermier, des potagers destinés à l’autofinancement…  le tout sur le site ZAWADI ZA IMANI qui est vraiment un cadeau de la foi ; c’est pourquoi il faut voir pour croire que les femmes peuvent, elles aussi, accomplir de grandes choses, des merveilles… le site ZAWADI ZA IMANI est une cite touristique, un lieu calme, un investissement de faille de mastodonte, c’est tout simple un chef d’œuvre de 30 heures.

4.     Parti d’un petit garage, aujourd’hui Balou est une institution imposante.  Quels sont vos projets d’avenir ? Comptez-vous vous arrêter ici ou aller encore plus loin ?

Comme toute institution scolaire digne de ce nom, l’initiatrice de Balou rêve de créer une université où a-t-elle dit : « on va tordre les gens ». Par tordre les gens, il ne faut pas entendre torturer, il faut entendre par là que dans cette université, on va discipliner les gens, leur apprendre ce que nos universités ne font pas. La question qui se pose est : « dans combien de temps cette université sera-t-elle créée ? »
L’entreprise ne commence pas  tout de suite avec tout ce que vous voulez, il faut du temps et beaucoup de patience. Attendons voir dans 10 ou 20 ans.

5.     Le chemin de l’entreprise est très dangereux, il a des hauts et les bas ; sur ce chemin, quels sont les succès et les échecs rencontrées ?

Les échecs de lui effrayent pas car ils servent de base pour un succès, ils sont la lumière du succès, bref pas d’échec pas de succès.
Parmi les échecs qu’elle a connus, la plus dure fut l’affaire KIWELE. Il y a deux années de cela, alors que Balou était installé dans l’enceinte du complexe KIWELE, elle  était déguerpie de là en plein début de septembre avant le début de l’année Scolaire. C’était un coût dur vu qu’elle ne s’était pas préparée en conséquence.
Parlant succès, il faut savoir que l’objectif visé par cette institution est de fermer de bons citoyens, utiles et serviables. Jusqu’à lors, Balou a à son actif 5 distinctions à l’université de Lubumbashi dont 2 à la faculté de polytechnique et 3 à la faculté de médecine. Voilà les plus grands succès de l’établissement.

6.     Comment  fonctionne votre entreprise à partir de vous ?

Madame Maguy est à la fois fondatrice, coordonnatrice et enseignante. Elle se sent plus à l’aise dans l’enseignement que nulle part ailleurs.  Ce domaine-là est sa passion.

7.     Comment décidez-vous dans votre entreprise ? Avec qui ?

Zone de Texte: DGLes décisions sont prises en collaborations avec ses collaborateurs suivant un organigramme établi.








 







8.     Que représente pour vous ou que pensez-vous de l’argent, les travailleurs, la famille, les mutuelles tribales, la religion,…

Du travail vient  tout, seul le travail bien fait compte, le reste sont des accessoires

9.     Comment recrutez-vous vos collaborateurs ?

Les collaborateurs sont ceux qui accusent d’une grande ancienneté dans l’affaire, ceux qui ont travaillé avec elle pendant 5,6,10 ans, ceux en qui elle a confiance.

10.Quelles sont les techniques de communication à l’intérieur et à l’extérieur de votre entreprise ?

A part les notes qui circulent entre services, il n’y a quasiment pas de communication à l’intérieur et presque pas à l’extérieur. Quand une provocation extérieure surgit, ils répondent par le silence. On répond un imbécile par le silence dit-on.
Pour raison de politique de bons voisinages, elle a créé un foyer social ; comme les paysans des environs y trouvent leurs comptes, elle s’est créée une sentinelle.

11.Quelles sont les qualités que vous attendez de vos travailleurs, de vos enfants, de votre partenaire, de vous-même,…

Quand ils parlent travail, seul un contrat de travail les unis, il n’y a pas des contacts sociaux d’où seul le travail bien fait compte « on ne se connait pas, on est lié par le travail » a-t-elle dit.

12.Quelle image avez-vous de vous-même ? que disent les gens de vous et de votre affaire ?

Entant nul en communication, administration et relation, elle ne voit donc que le positif d’elle-même avant qui que c’est soie. Ce que les autres pensent ou disent d’elle, elle s’en fou.
Prétendre se connaitre et ignorer ce que les autres pensent d’elle est un dangereux ; hélas elle n’y peut rien, c’est sa nature, Elle est comme ça…

13.Est-ce qu’il vous arrive de vous sentir seul ? Pourquoi, à quel moment et que faites-vous ?

Quand les enfants de l’école spéciale font la fugue, quand un enfant disparait, le jour où elle fût déguerpie du complexe KIWELE… ce sont là entre autre les moments où elle s’est sentie seule. Elle ne s’est jamais sentie aussi seule que le jour où une petite fille de l’école spéciale est morte après qu’elle s’est échappée. Quand ces événements lui arrivent, que fait-elle ? Rien ! Elle ne fait rien du tout, la nature fait que les problèmes adviennent et passent, elle laisse donc le temps faire.

14.Que doit-on faire quand on se retrouve avec un montant élevé d’argent dans sa poche ?

Il ne faut pas attendre d’en avoir trop ; il faut faire quelque chose. Une entreprise est comme un enfant ; elle née, grandi et meurt. Quand vous avez un peu d’argent, il ne faut  pas attendre de créer en un coup une grande entreprise, il faut commencer tout bas pour finir tout haut au lieu de commencer tout haut pour finir tout bas.

15.Comment choisir et vivre avec ses collaborateurs ? comment est-ce que vous initiez ou formez vos enfants ou votre partenaire ?

Les collaborateurs sont choisis en fonction de leur ancienneté et ne sont liés à elle que par un contrat de travail. Quant aux enfants et le partenaire, ils travaillent avec elle pour s’imprégner de la situation et prendre de l’expérience afin qu’ils puissent lui remplacer le moment venu.

16.Comment faut-il sanctionner positivement ou négativement ses collaborateurs, ses enfants, son mari,…

Parlant sanction, elle préfère le fouet à la carotte. Quand un collaborateur, un enfant, le mari,… va à l’encontre du règlement, il est sanctionné conformément à ce dernier.

17.Que voulez-vous ? Quel est votre passion dans la vie ?

L’enseignement est pour elle comme une drogue, elle ne peut pas s’en passer, c’est l’enseignement ou rien, c’est une passion.

18.En vous occupant à fond de vos affaires, de votre carrière, vous avez sans doute perdu quelque chose d’autre en famille, en amitié,…

En s’occupant à fond de ses affaires, sa carrière, elle est devenue très stricte et très rigoureuse, il lui est impossible de camoufler ses sentiments,… elle est déformée, elle est devenue très direct.

19.Qu’est-ce qu’il y a de bien à être chef, ou leader ?

« Rien du tout » a-t-elle dit ; Bien au contraire, être chef c’est s’engager à affronter les gens de toutes les cultures, toutes les manières,… être chef c’est juste un tas de souci, c’est être entre le marteau et l’enclume, c’est épuisant. C’est surtout très frustrant quand vous travaillez pour vous-même car vous voyez tout le temps l’échec que vous affrontez de fois tout seul.

20.Que signifie la gestion, gérer c’est quoi pour vous en des mots simples ?

Parce que qui dit gérer dit prévoir, organiser, commander, coordonner et contrôler, madame Maguy nous a avancé qu’elle n’est pas forte en coordination. Elle fait de l’économie par objectif qui consiste à faire avec les moyens de bord, évoluer petit à petit.

21.Quels sont les signes de la bonne gestion ? de la mauvaise gestion ?

« Je suis nulle en gestion » a-t-elle dit ; elle fait de l’économie et la gestion par objectif ; ce qu’il faut savoir ce qu’on peut savoir qu’on a bien ou mal géré si ça n’avance pas. Il y a quand même des fois où ça ne marche pas alors que la gestion est bien organisée, c’est la loi de la nature.

22.Quelle est la place de Dieu et des fétiches dans les affaires ?

Le fétichisme nous fait reculer, il nous aveugle. La réussite est dans Dieu et surtout dans l’amour du travail bien fait. Pour illustrer cela, elle nous a raconté une histoire vraie qui s’est passée sur le site ZAWADI ZA IMANI à Kimbembe.
Nous vous la reprenons : dans les débuts du chantier, pendant qu’elle commençait les constructions, les villageois ont comploté pour lui jouer un sal tour. Ils ont mis un crâne humaine dans une marmite sur un feu en plein sur son site et quand elle est venue, ils lui ont fait savoir qu’il ne fallait pas qu’elle construise car les ancêtres n’étaient pas d’accord… qu’a-t-elle fait ? Elle a mis un coup de pied sur la marmite et leur a menti en disant qu’elle œuvre avec le chef des sorciers… dès lors elle n’a plus été dérangé…

23.Avez-vous déjà pensé à votre retraite ?

Elle y a déjà pensé ; mais il lui sera très difficile de prendre sa retraite, aussi longtemps que le bon Dieu lui accordera une force de travailler, elle n’arrêtera pas.

24.Avez-vous déjà pensé à votre part ? Qui va vous succéder ?

Nous savons très bien que nous naissons un jour, nous vivons un temps et nous devrions mourir un jour. Que nous voulions ou pas, la mort est imminente. De même, madame Maguy a déjà pensé à sa mort ; quant au successeur, Dieu seul sait, Dieu a déjà tout préparé. Elle n’a pas peur.

25.Quels sont les conseils que vous allez donner à ceux qui veulent devenir patrons ?

Le statut du chef ou patron n’est pas un privilège ; c’est au contraire une responsabilité, des décisions à prendre… Si vous voulez devenir chef, il faut compter sur le travail et sur le seigneur. Quand vous serez chef, il vous faudra tout positiver, ne voyez que vos points forts ; passez-vous des faibles, fuyez les paresseux.

26.Que pensez-vous des autres patrons ? Parlez-vous de certaines d’entre-eux.

Parce que à elle seule elle ne peut pas développer le secteur éducatif en particulier et tous les autres secteurs d’une vie économique en générale ; elle aime donc bien tous les autres patrons parce qu’ils contribuent tant soit peu au développement.


















Conclusion partielle

Madame Maguy a parlé en long et en large sur l’entreprenariat. De manière synthétique, nous avions retenu qu’une entreprise commence toujours toute petite et grandit progressivement en fonction du soin dont le gestionnaire lui accordé. C’est un peu comme l’enfant qui né et grandi dans les bras de sa maman. Une entreprise ne commence pas tout de suite avec tout ce que vous voulez, il faut la guider, il faut être patient.
Parce que nous rêvons tous de créer un jour une entreprise, d’être patron,…nous avions appris qu’il y a une technique qui a permis à madame Maguy de se trouver au niveau où elle est aujourd’hui. Cette technique n’est rien d’autre que l’économie par objectif. Dans cette approche de l’économie par objectif, nous devons faire avec les moyens de bord, construire à long terme. La manne ne  tombera plus, il ne faudra pas que nous puissions compter sur le fétichisme ou la magie ; seul l’amour du travail bien fait nous procurera tout le bonheur dont nous pouvons rêver.
Quand nous serons en fin chefs d’entreprises, nous devrions bannir l’esprit de familiarité ; dans une entreprise, seul un contrat de travail uni le patron à ses travailleurs, nous devrons donc rester dans le cadre professionnel, être rigoureux et surtout ne rien faire au hasard. Pour finir, nous devrions être positif envers  nous-mêmes, parce que les gens critiquent de fois les autres  même si cela ne tient pas la route, nous devrions tout voir sur l’angle positif, nous devrons tout positiver.





Partie II. A LA DECOUVERTE DE MONSIEUR NSUNZU KANYINDA VITAL

a)    Biographie physique

Comme dit ci-haut, nous nous sommes entretenus avec l’artiste comédien du nom de NSUNZU KANYINDA Vital, Humouriste connu un peu partout en République Démocratique du Congo.
Fils de ILUNGA KABALE Raymond et de NTUMBA  N’DAYE Thérèse, monsieur NSUNZU KANYINDA Vital :
-      Est né à Likasi, le 28/12/1975 ;
-      Il est 5ème dans une famille très nombreuse.
-      Marié à Laetitia ILUNGA  NKASA et est père de 3 enfants, dont : Glory, Michel, ILUNGA NSUZU, alilia Perrette et Gliorennie NSUNZU NDAYE. 

b)    Biographie professionnelle

-      Vital NSUNZU est licencié en Lettres, Département Langues et Littérature Française.
-      Il est le premier comédien congolais à parler de la comédie à l’université. 

c)     Naissance de l’affaire

Humouriste de tapage et Animateur de haute tension, Vital NSUNZU est né comédien cela a commencé depuis son enfance par le fait qu’il animait tout le temps chez lui à la maison, à l’école, dans le quartier, avec ses amis, dans des manifestations,…

d)    Etendu de l’affaire

Entant qu’artiste comédien connu et aimé dans toutes les provinces du pays, l’artiste avait son groupe appelé « Troupe Théâtral Vital NSUNZU » dans lequel il œuvrait. Comme  ça ne lui a pas parmi de pouvoir approfondir la capacité de sa carrière, il a décidé d’abandonner la troupe et d’œuvre seul jusqu’à nos jours. Et il se sent mieux comme ça, a toute la force, est en pleine forme et a toute cette capacité de diriger.

e)    Stratégie

Ses talents et tendances n’ont pas nécessairement été provoqué  par des stratégies et méthodes venues de gauche à droite ; mais ce n’est qu’une grâce pour lui, car sa carrière vient de l’enfance, c’est un don, une vocation pour lui car a-t-il dit : la comédie, c’est de l’art, c’est inné.
Ses stratégies sont parties de la morale et de la discipline telle que :
·         Le respect de certains paramètres
·         Le respect de l’heure ;
·         L’amour du travail bien fait ;
·         La  transformation des faits sociaux en faits littéraire ;
·         La planification de tout ce qu’il fait.
Voilà en quelques traits ce qui lui a permis d’aboutir à la réussite dans sa carrière, sans aucun effort monétaire, ni magicien.

f)      Horaire des affaires

Monsieur Vital NSUNZU a un horaire bien planifié et bien respecté lui, et lui permettant d’exercer ses activités.
Il est un agent de l’université de Lubumbashi à la Radio Phoenix Universitaire, où il a l’émission de 20 heures 45’ à 21 heures 30 ;
A la Radio MWANGAZA, il travail entant que collaborateur extérieur. Il a l’émission Chaque vendredi de 20 heures 45 à 21 30 ; dans « blague et musique » ;
A Wantanshi : chaque mardi ;
Alphadjiri : chaque Mercredi de 20 heures 00’ à 21 30’ ;
A Phoenix universitaire : dimanche de 12 h 30 à 14 heure 30.

g)    Ses relations

Notre artiste comédien entretient des très bonnes relations avec les autres comédiens locaux et ceux de l’extérieur.
Il y a pas de critères dans la comédie, car dit-on : « la comédie est l’art d’exister le rire ; un comédien est un homme enfermé dans l’homme, il se situe dans le temps et dans l’espace ». Et bien que, lui-même nous l’a prouvé dans sa citation : «  je suis en train de parcourir le cercle complet de mon art avec une souplesse sans précédent et sans imitateur depuis la face la plus bouffonne, jusqu’à la comédie la plus ouverte et la plus sollicité ».
Cela prouve qu’il est en une nette collaboration avec tous ses partenaires.

h)    Projets d’avenir

Aspiration : « homme est appelé à évaluer, il n’y pas de tabou de quitter un domaine vers un autre.
Un succès sans successeur est une autre forme d’échec ».
Bien que monsieur vital est aujourd’hui connu partout en République Démocratique du Congo, il ne mourra pas toujours comédien, il préfère laisser aux autres, car il a ses projets dans l’avenir.
Présentement, il s’est déjà intégré dans la politique, nonobstant qu’il a raté aux élections du mandat en cours…
Il n’est pas découragé, il veut maintenant tout mettre au point afin de devenir un grand acteur politicien pour changer certaines choses que d’autres n’ont pas puis faire.
En s’intégrant dans la politique, il a tenté de différencier sa carrière de comédien avec celle de politicien, et par là, il a constaté que :
·  Entant que comédien, il châtiait les mœurs de la population par la voix du rire ;
·  Tandis qu’avec la politique, il sera la voix des sans voix, la seule bouche autorisée, l’avocat du peuple, d’où, il s’attend à la réussite dans le mandat prochain.

i)      Conseil

Avec toutes ses expériences acquises, Monsieur Vital, entend qu’un manager, il nous a donné comme conseil, nous qui sommes des futurs managers :
·  Pour arriver à la réussite, il faut toujours  aimer son travail, avoir une discipline personnelle, avoir de la persévérance.
·  Savoir organiser, coordonner, prévoir, ordonner et contrôler ;
·  Savoir planifier ;
·  Mettre tout le monde à l’aise ;
·  Beaucoup travailler afin de régner, …












CONCLUSION PARTIELLE

Notre travail a porté sur la découverte d’un manager artiste comédien en la personne de monsieur NSUNZU  KANYINDA Vital. Dans cette interview, il a été question de connaitre :
-      La biographie physique et professionnelle de l’artiste comédien ;
-      L’évaluation de son affaire ;
-      Ses projets d’avenir.
Et par là, nous avons constaté que monsieur NSUNZU est un comédien de talent, connu parfaitement au Congo car, il sait entretenir ses relations avec les autres comédiens.
Grâce à la comédie, il est devenu dignitaire d’Etat et donc, la seule personne qui puisse lui interpeler juridiquement est le procureur général de la république. Vu l’étendu de sa réussite, nous pouvons en déduire que monsieur Vital est un bon manager et de ce fait, nous appelons tous les jeunes qui ont aussi cette vocation (la comédie) de tenir bon et de suivre l’exemple de monsieur Vital en particulier et tous les artiste comédien en général afin d’arriver jusqu’au bout.
Pour ce fait ils devront être professionnels et mettre en pratique toutes les caractéristiques d’un bon comédien tel est le cas de celui qui fait l’objet de ce travail.
Il n’y a pas des sots métiers, il y a que des sottes gens dit-on.









CONCLUSION GENERALE

A tout seigneur tout honneur, nous ne pouvons pas mettre un point final à ce travail sans toutefois remercier la personne de madame Maguy et monsieur NSUNZU KANYINDA Vital avec qui nous avions eu le plaisir d’échanger, nous remercions aussi le chef des travaux N’DUA pour ce travail ainsi que chaque membre du groupe qui a apporté sa modeste contribution à la réalisation de ce travail.








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